De l’Avenue du Tir Fédéral (carrefour de St-Sulpice) au Pont sur la Venoge, la RC 1 sera réaménagée avec comme changements les plus notables,
- des voies réservées au bus, ainsi que 8 arrêts de bus (4x 2)
- des pistes mixtes piétons et vélos, séparées de la chaussée par une bande végétalisée
- un rond-point remplaçant les feux actuels au carrefour de Vallaire
- et l’élargissement de 7 m du Pont de la Venoge, afin d’intégrer 2 pistes mixtes (une par sens de circulation) pour piétons et vélos de 3 m chacune et, à terme, la possibilité d’insérer une voie supplémentaire pour les bus en direction de Morges.
Pour des motifs de sécurité, la circulation depuis le chemin de l’Ormet sur le RC 1 demeura inchangée.
Le coût, devisé à environ 20 millions, sera assuré à concurrence de 84% par le Canton et la Confédération, 11% par St-Sulpice et 5% par Ecublens. Un crédit de 1,2 million été voté par le Conseil communal d’Ecublens, ainsi qu’un crédit supplémentaire de 0,22 million afin de déplacer les collecteurs d’eaux claires actuellement sous la route.
La piscine scolaire du collège du Pontet a été construite en 1974. Une réfection complète doit être envisagée. Un crédit d’étude de 450'000 CHF a été libéré par le Conseil communal, avec le vœu formulé par la commission ad-hoc, que les différentes possibilités de chauffage hors énergies fossiles soient examinées en détail.
Les cinq panneaux lumineux servant à l’information des habitants de la commune seront changés. Plus grands, et permettant la diffusion de messages et d’images en couleur, ils coûteront environ 110'000 CHF.
La petite maison sise chemin de la Colline 1, voisine de la parcelle communale du parc de Mont Repos, des vignes communales et de l’immeuble du greffe communal, a été acquise en 2017 par la Municipalité pour le prix de 550'000 CHF. Cette parcelle de 372 m2 revêt en effet un intérêt stratégique pour la commune et la valorisation éventuelle future de l’ensemble du site mon Repos. D’une surface au sol de 42 m2, l’immeuble nécessiterait d’importants travaux d’assainissement et de transformation pour y accueillir des services ou des activités de l’administration et la Municipalité a communiqué en 2018 son intention de le démolir. La Conseillère communale PLR + ID Fabienne Crousaz, choquée du sort donné à cette maison pour laquelle elle a déclaré un attachement particulier, a déposé une interpellation en décembre 2018 demandant si la Municipalité s’est préoccupée d’examiner une alternative à la démolition et lui suggérant éventuellement de constituer un groupe de travail pour plancher sur des idées. Guère satisfaite de la réponse lapidaire et négative qui lui a été donnée lors du conseil de février 2019, elle a obtenu le vote majoritaire du Conseil communal lors du dépôt d’une résolution demandant à la Municipalité de « former un groupe de travail collectif relatif au sort de cette maison afin de soumettre des idées pour développer l’offre de notre commune ».
La Municipalité, probablement surprise du résultat positif de ce vote, devra se pencher sur la suite qu’elle entend y donner. Une résolution est, rappelons-le, un souhait formulé par le conseil, sans force contraignante pour la Municipalité
